Le prédateur des lesbiennes

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il y a 2 ans

La gendarmerie a été prévenue par des ramasseurs de champignons qu’un crime horrible a été commis dans une ferme quasi abandonnée près de la rivière. L’inspecteur et l’adjudant déplacés sur les lieux indiqués restent sans voix devant ce qu’ils découvrent. Leur premier réflexe est de dégainer leurs armes et de vérifier que la zone est sécurisée. Ce qu’ils avaient pris pour un canular, est horrible. L’adjudant encore bien jeune dans le métier ne tarde pas à restituer son petit déjeuner lorsqu’ils reviennent dans la maison.

  • Allo, mon commandant !

  • Oui inspecteur Lauris !

  • Ce que nous venons de découvrir dépasse très largement mes compétences. Il nous faut une Unités Médico-Judiciaires ainsi que le concours d’un coordinateur des opérations criminalistiques. Je pense que cette enquête va être très complexe.

  • Rien que ça ? Vous rigolez ou quoi ?

  • Mon commandant, malgré tout le respect que je vous dois, il serait bien que vous veniez sur les lieux car c’est très particulier et, semble t’il, très bien organisé.

  • J’espère que vous ne me faites pas venir pour rien, j’arrive de suite.

Le commandant Brus se fait donc accompagner d’un second inspecteur expérimenté. Il faut vérifier avant de lancer une grande opération, car dans leur région, il ne se passe jamais rien de bien méchant. A deux doigts de la retraite, il ne tient pas à se ridiculiser.

Après avoir un peu souffert dans les petites chemins de terre, le SUV 308 Peugeot de la gendarmerie arrive sur les lieux trente minutes plus tard.

  • Alors inspecteur Lauris, c’est quoi cette affaire qui justifie de me faire déplacer et de mobiliser des deux tiers des effectifs judiciaires locaux ?

  • Un double meurtre. L’un au couteau mais c’est assez sordide, l’autre un meurtre particulier associé sans nul doute à une agression sexuelle. La victime est encore pendue, nous n’avons pas osé y toucher ! Lui répond l’inspecteur Lauris

Le premier corps que découvre le commandant Brus lorsqu’il s’approche de la vieille bâtisse, est effectivement assez sordide. Un jeune homme baignant dans une mare de s a n g a, à priori, été poignardé et ses yeux semblent avoir été arrachés au couteau.

A l’intérieur, une femme nue est pendue par le cou. Ce qu’il y a de particulier c’est sa position. Elle est suspendue par le cou mais comme assise sur ses genoux pliés avec les mains posées dessus. Si le commandant Brus faisait du BDSM, il saurait que c’est la position 6 de la soumission mais avec du bondage en plus. Ses jambes sont attachées repliées avec ses mains également liées aux cuisses avec la paume vers le haut. Trente centimètres sous ses jambes il est évident que le sol a été balayé. Sur le sol, on peut voir une tache fraîche sur le béton, probablement un fluide s’étant écoulé de son sexe. Il y a un trépied pour téléphone est abandonné à quelques mètres de la victime.

  • A priori, l’assassin a filmé la scène ! Déclare le commandant Brus avant de confirmer qu’il faut mobiliser l’Unités Médico-Judiciaires. Il se charge d’informer le préfet de cette sordide affaire.

CINQ HEURES PLUS TARD

La police scientifique mènent ses investigations sur les lieux pendant qu’à la morgue les experts du PJGN tentent d’identifier les traces de fluides présentes sur le corps de la victime, ainsi que sur ses vêtements et sous-vêtements retrouvés près d’elle, ainsi que sur les lieux des faits.

Le pôle judiciaire de la gendarmerie nationale (PJGN) constitué de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale RCGN et du Service Central de Renseignement Criminel de la Gendarmerie Nationale (SCRC) sont sur les dents.

Après avoir été informé qu’il n’y a aucune empreinte et pas de sperme malgré ce qui semblerait être un v i o l, ce qui les perturbe le plus, c’est la position de la victime et le trépied pour téléphone abandonné sur les lieux. Comme les vêtements ne semblent pas avoir été déchirés, parmi les hypothèses soulevées, cela pourrait être des adeptes du BDSM qui ont joué et se sont loupés avec la fille. La personne trouvée à l’extérieur aurait été tué pour éviter un témoin gênant.

Ces premières conclusions sont rapidement balayées, la fille trouvée pendue est une jeune maman, ses effets personnels ne démontrent pas qu’elle soit adepte de pratique fétichiste. Bien au contraire, elle semble même très sage dans le choix de ses sous-vêtements. Son ordinateur quant à lui, révèle qu’elle semblerait être attirée par les femmes. Dans sa messagerie, les enquêteurs parviennent à trouver le numéro de téléphone de celle qui pourrait être sa copine ou sa petite amie.

Au vue de la gravité de l’affaire, le procureur demande qu’on l’interpelle en douceur pour qu’elle soit entendue. Grâce à son numéro de téléphone, la police trouve son adresse sans problème et se présente chez elle le surlendemain à six heures. La pauvre fille ne comprend pas ce qu’il lui arrive quand elle se retrouve face aux gendarmes devant sa porte. Menottée et conduite à la gendarmerie, elle a beau essayer de demander des explications, rien ne lui est dévoilé. Conduite dans un bureau, elle est libérée pour être entendue par un inspecteur chevronné. Après les usages, nom prénom, ... il lui demande où elle était ce week-end.

  • En Hollande chez des amies. Répond Léa.

  • Pour acheter de la d r o g u e ?

  • Oui, inspecteur, j’en ai pris deux palettes, une pour moi et une pour une amie ! Elles sont encore dans le coffre de ma 206 !

  • Vous vous moquez de moi ?

  • Je ne me permettrai pas, voyons, disons que si j’en avais achetée, je ne vous le dirai pas comme ça, cash. Cela ferait mauvais genre dans un procès verbal, qu’en pensez-vous ?

  • C’est moi qui pose les questions !

  • Et bien moi, je ne vous parlerai plus tant que vous ne me direz pas pourquoi je suis ici !

  • Vous êtes là pour une affaire de meurtre ! Pour le moment, rien ne vous accuse mais je vous demande de coopérer et d’arrêter de me répondre des âneries ! Connaissez-vous cette fille ? Demande l’inspecteur en lui montrant une photo de la victime.

  • Oui c’est Myriam, une de mes copines. Il lui est arrivé quelque chose ?

  • Oui, elle a été retrouvée morte dans une position très particulière.

Très perturbée et en larmes, Léa se met aussitôt à collaborer. Elles se sont rencontrées sur un site internet et ont fait intimement connaissance. Elle leur dévoile sans aucune gêne être lesbienne et que son amie, dégoûtée des hommes, appréciait cette nouvelle sexualité bien plus douce. Léa donne l’adresse de ses amies en Hollande et propose même de les appeler pour qu’ils confirment son alibi. Pour gagner du temps, et de la paperasse, il lui demande d’appeler ses amies mais de lui passer le téléphone dès qu’elles décrochent. La conversation ne dure pas très longtemps, elles sont prêtes à venir en France pour témoigner afin que leur amie ne soit pas ennuyée. Léa est donc relâchée et raccompagnée chez elle. La police demandera à sa banque les traces de la carte de paiement pour vérifier son alibi.

LE SOIR MEME

Marius, un ancien commando marine se fait passer pour une lesbienne sur le fameux site réservé aux filles. Même si il est aussi moche qu’un cochon complexé, le bougre sait y faire pour séduire les femmes. Sur son profil féminin, il indique être fan de shibari. Sa passion est d’attacher ses copines, avec leur accord bien sûr et jamais la première fois, pour les lutiner comme une abeille sur les pétales d’une rose. En réalité, ultra complexé par son physique, il est devenu ce que l’on appelle un prédateur sexuel.

La petite Lily dialogue avec lui sur le site depuis plusieurs jours. Convaincue d’échanger avec une femme d’un certain âge et assez haut placée, elle a abandonné l’idée de la voir en webcam. Effectivement, quand on est une femme haut placée, on ne peut s’afficher sur des sites de cul. Ce qu’elle ne peut savoir, c’est qu’elle dialogue avec un prédateur et qu’elle lui a même quasiment donné son adresse.

Comme les autres disparues, la petite Lily se fait des films. Peut-être qu’étant haut placée elle pourrait l’aider à avoir un meilleur emploi. Lily a un bout de chou de trois ans à la maison. Il va à l’école des marronniers et son père était un enfoiré. Le fin limier attiré par la chair fraîche est en train de la ferrer en la faisant parler. A chaque fois, en fin de conversation, il s’excuse de devoir couper pour causse de dossier à terminer mais, il lui promet de passer un moment inoubliable dans ses cordes. Sur ce point là, il ne leur ment pas....

LE LENDEMAIN

Le fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles et violentes Fijais ne donne rien de particulier. Le fichier des personnes disparues est désespérant tant il est difficile à appréhender dans une enquête. Les données à caractère sexuel (lesbienne) ne sont pas obligatoirement renseignée. Ils contiennent l’identité, nom et prénoms, date et lieu de naissance, filiation, puis les liens juridiques entre un enfant et son père et/ou sa mère, autres identités connues, sexe, nationalité. Il contient en outre la description et photo, le motif de la recherche et la conduite à tenir en cas de découverte. L’inspecteur en charge de fouiller dans ses fichiers s’arrache les cheveux. Il ne trouve rien sur les femmes disparues pouvant être lesbiennes et adeptes de BDSM ou de jeux de corde.

Par contre, il constate que dans la région, c’est la huitième fille de cette tranche d’âge qui disparaît cette année. Certaines ont disparu sans prévenir et en laissant leurs e n f a n t s. Il en parle à l’inspecteur chargé de l’enquête qui en parle à son commandant qui en parle au coordinateur des opérations de criminalistique. Il est décidé d’interroger les familles sur la sexualité des disparues, ayant à priori abandonné leurs e n f a n t s, en espérant ne pas trop les traumatiser par ces questions gênantes. Sur les trois familles interrogées, deux très gênées avouent que leurs filles aimaient aussi les filles.

Les résultats de la scientifique n’ont rien donné ni les relevé de traces capillaires et biologiques. En clair pas d’ADN par d’empreinte, pas de trace de voiture ou de quoi que ce soit. Le seul semblant de piste qu’ils ont, portent sur le fait que les filles disparues pourraient être lesbiennes ou bisexuelles. L’ordinateur de Myriam a permis de savoir sur quel site internet elle surfait. Son webmaster est convoqué à la gendarmerie et interrogé pour savoir si il a eu vent de membres disparus dans sa communauté. Très perturbé, il répond par la négative mais propose de demander à ses modératrices puis de faire une recherche sur sa base de données. Il lui est demandé de ne pas en parler et de se limiter à faire une recherche. Le lendemain, un gendarme spécialisé « web » s’inscrit sur son site avec un faux profil.

TROIS JOURS PLUS TARD

Marius a trouvé l’adresse exacte de la petite Lily, il a même réussi à prendre des photos de son fils sans se faire repérer. En la voyant marcher dans la rue dans sa petite robe à fleur, il en bave d’avance tel un boxer devant une gamelle de pâté qu’il ne peut atteindre. Sur le site des lesbiennes, il passe la surmultiplié pour la séduire et surtout, la convaincre de venir passer une soirée avec lui. (elle)

Ce soir là, l’enquêteur découvre sur le site qu’une pseudo fille serait adepte de shibari. Le bondage réalisé sur la fille en plus du nœud de pendu laissait à penser qu’il est possible qu’il y ait un lien. (Sans jeu de mots) Le webmaster est invité à donner le plus d’informations possible sur ce profil.

Le papa de la fille assassinée a été mis hors de cause. Il est routier et était en Italie le jour du meurtre. Concernant l’homme poignardé devant la vielle maison, l’enquête ne donne absolument rien hormis qu’il aime marcher et, lui aussi, ramasser des champignons.

LE LENDEMAIN

Le webmaster indique à la gendarmerie que l’adresse IP est à priori inutile, c’est un VPN. Par contre, il leur apprend que c’est un ou une abonné(e). Par la banque, ils doivent pouvoir le ou la retrouver avec une injonction d’un juge. Autant dire que cela n’a pas tardé !

Le soir même, la gendarmerie savait que MCD « Miss Corde D’amour » est en réalité un homme. Ils ont eu par la banque son adresse et son identité ainsi que le nom de son fournisseur internet et de téléphone mobile.

  • Si il met son GPS, on saura où il est ! S’exclame le commandant. Envoyez une voiture banalisée à son domicile et tracez-moi son mobile. Je veux aussi tout savoir de ce mec y compris la marque de ses caleçons ! Je veux tout le monde sur le coup !

Marius n’est pas chez lui. Par la fenêtre de son domicile, un des gendarme peut apercevoir avec sa lampe des cordes de shibari rouges. Elles sont de la même couleur que celles utilisées pour la fille retrouvée pendue. Le procureur refuse de cautionner une intervention avant six heures. Le gendarme outrepasse ses droits et bricole la serrure qu’il parvient à ouvrir sans laisser de marque. Sur le bureau de Marius, il aperçoit une photo de la victime mais aussi de cinq autres filles attachées par le cou.

  • Mon commandant, c’est lui, sa maison est remplie de preuves !

  • Comment le savez-vous ?

  • Je les ai vues par la fenêtre. (Un petit mensonge qui sera vite oublié car en partant, il fait tomber les photos pour quelles soient visibles de l’extérieur)

IL FAUT SAUVER LA PETITE LILY

Marius ne communique avec Lily que par le site internet. Caché derrière son VPN, il se croit tranquille...

Comme quoi il vaut mieux discuter avec des membres abonnés, c'est plus prudent ! D’ailleurs vous allez me détester, la suite de cette histoire est réservée aux abonnés parce que trop « hot ».

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Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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